celou13
Angkor :Ta Som Temple
Le 30/12/2016
2016-12-20 Bayon |
Le Ta Som (ប្រាសាទតាសោម, l'ancêtre Som) est un temple bouddhiste sur le site d'Angkor au Cambodge.
Situé à l'extrémité Est du baray nord-oriental (Jayatatāka), au nord du baray oriental, cet ensemble de dimension modeste a été érigé par Jayavarman VII vers la fin du xiie siècle.
Construit dans le style du Bayon, il comprend deux enceintes entourant le temple lui-même :
- L'enceinte extérieure, simple mur en latérite, est dotée uniquement de deux gopura est et ouest surmontées de tours à quatre visages. Au Nord et au Sud se trouvent deux fausses portes simplement décorées. Ce mur délimite un espace rectangulaire d'environ 200 m sur 240 m, dans lequel seuls subsistent deux bassins, de part et d'autre de l'allée Est.
- L'enceinte intérieure, précédée d'une douve et à laquelle on accède par deux terrasses cruciformes ornées de nāgas, est une galerie en latérite et grès.
Le temple lui-même possède une enceinte de 20 m par 30 m entourant la tour-sanctuaire centrale, un prasat de plan cruciforme à faux étages, et deux petites « bibliothèques » à l'Est.
( Wikipédia )
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Wat Preah Kan
Le 30/12/2016
2016-12-21Wat exterieur au Wat Angkor 4 |
Le Preah Khan est un temple bouddhiste construit par le roi khmer Jayavarman VII vers 1191 au nord de la cité d'Angkor Thom, sur le site d'Angkor au Cambodge.
Histoire
Le Preah Khan (« épée sacrée » en khmer) était un complexe monastique bouddhiste nommé Jayaçri (« victoire glorieuse » en sanskrit) en l'honneur de la victoire sur les Chams de Jayavarman VII qui l'érigea en 1191.
Le site a servi de ville provisoire pendant la construction d'Ankgor Thom et le monastère fut terminé après que Jayavarman VII se fut installé dans son nouveau palais (1190).
Il est dédié à Dharanindra Varman II, le père du roi bâtisseur qui est idéalisé ici sous la forme du Bodhisattva Avalokiteśvara.
Description
Ce temple « à plat » est entouré d'une première enceinte d'environ 800 m sur 700 pour 5 m de haut, elle-même bordée de douves de plus de 20 m de large. Le complexe couvre tout de même 56 hectares car il est formé d'une multitude de constructions réalisées à plat, dont l'enchevêtrement est assez complexe, du fait des diverses fondations religieuses qui y ont été édifiées.
Le mur en latérite de la 4e enceinte — la plus extérieure — est décoré de 62 immenses garuḍas de grès, gardiens du temple.
Les chaussées dallées qui franchissent les douves sont, comme à Angkor Thom, ornées de balustrades composées de géants fabuleux (deva) tenant un nāga. Originalité, le soubassement de ces chaussées est orné de bas-reliefs.
Le grand espace entre les murs était probablement occupé autrefois par de nombreuses habitations principalement en bois. Pour seuls témoins, un gîte d'étape sur le côté de la route d'accès Est et un bassin creusé dans l'angle Nord-Ouest.
Le gopura ouest de la 3e enceinte est en forme de croix. Son porche à quatre piliers est surmonté d'un fronton sculpté. L'entrée est précédée de part et d'autre du passage par des gardiens (Dvarapala) de grès, de haute stature, décapités.
Au centre, le temple est entouré d'un mur d'enceinte de 210 m sur 160 m muni aux quatre points cardinaux d'importants pavillons d'entrée dont le plus complexe est celui de l'Est précédé d'une grande terrasse d'accès.
L'enceinte du temple comprend de nombreux édifices annexes dont une « salle aux danseuses », des bassins, des « bibliothèques », des « cloîtres » interconnectés par des galeries que l'on doit traverser pour atteindre l'enceinte du sanctuaire, lui-même un entrelacs dense de galeries et de salles à colonnades entourant la tour-sanctuaire centrale.
Deux arbres géants ont poussé sur la toiture d'un gopura. Leur grande hauteur et leur position inclinée défient les lois de l'équilibre, car ils sont uniquement « amarrés » par leurs longues racines qui coulent de la toiture pour serpenter ensuite sur le sol.
Près du temple, à l'est un petit baray, le Jayatatāka, dont le Neak Pean marque le centre. C'est le dernier baray érigé à Angkor ; devant l'ensablement rapide de ces grands réservoirs, les Khmers vont construire désormais des ponts-barrages avec un succès mitigé.
( Wikipédia )
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Wat Preah Kan suite
Le 30/12/2016
2016-12-21 Wat ext auWat Angkor 2 |
Preah Khan temple d'Angkor |
(L'épée sacrée du Roi) |
Le Preah Khan était en fait une véritable ville de plus de 50 ha. Malgré le vandalisme et pillage il reste encore quelques sculptures superbes. La ville abritait 10.000 personnes, 1000 danseuses et un grande école de Sanscrit. A l'origine ce fut un monastère bouddhiste dont les représentations de Bouddha furent détruites par les Brahmanes (prêtres hindous) et remplacées par des représentations hindouistes,(une seule représentation de Bouddha est restée). Pour arriver au centre du Preah Khan, une enfilade de galeries et de portes qui deviennent de plus en plus basses a mesure que l'on s'approche du centre (pour montrer son respect). Au centre , un grand Stuppa Bouddhiste en pierre qui fut rapporté au XVe siècle. Il y a des petits trous dans tous les murs au centre de l'édifice. A l'origine, dans chaque trou était enchassé de l'or et des diamants, on dit que tout cela a été emporté et revendu par les Khmers Rouges. De superbes sculptures des dieux barattant la mer de lait, ainsi que de Vishnu et Lakshmi (sa femme), et l'emplacement de 3 Lingams (sexe des Dieux) , rond à la base pour Shiva, carré pour Brahma et octogonal pour Vishnu. On retrouve comme au Ta Phrom, une végétation luxuriante qui a repris ses droits. |
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Entrée du Preah Khan |
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Ces trous dans les murs étaient l'emplacement de diamants et ors, emportés par les Khmers Rouges |
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Vishnu et Lakshmi |
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Six représentations de Shiva |
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( asievoyage ) |
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En route pour Bamttanbang
Le 30/12/2016
2016-12-22 Siem Reap = Batambang en bateau 1 |
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Traversée de Siem Reap à Battambang
Le 30/12/2016
2016-12-22 Siem Reap = Batambang 2 |
**** Une longue journée
J’étais dans le hall de mon auberge à 6 h 40, tel que convenu. Toutefois, le minibus qui devait me mener au point d’embarquement est arrivé avec un bon trente minutes de retard et il était surchargé de passagers et de bagages. Par je ne sais quel miracle, le conducteur a réussi à faire entrer tout le monde et tous les bagages dans le véhicule. On est ensuite partis vers le lieu d’embarquement, près du village flottant de Chong Khneas. Dès que le bateau fut rempli, on est partis. Il était alors 8 h.
Le trajet a finalement duré 8 h 30, incluant un arrêt d’environ 20 minutes à un restaurant/magasin flottant, après 3 h 30 de navigation. J’en ai alors profité pour faire un tour aux toilettes ; il y en avait une sur le bateau, si je ne m’abuse, mais je ne tenais pas particulièrement à la visiter. Par ailleurs, j’avais acheté de l’eau et de la nourriture, avant de partir, et j’en étais bien heureux. J’avais aussi apporté de la crème solaire, une sage précaution. Je n’ai pas été sur le pont ou sur le toit, mais j’ai vu que certains passagers qui y avaient été avaient attrapé de sérieux coups de soleil. Lecture et musique n’ont pas été de trop, non plus.
Différents visages du Cambodge
Ce trajet présente différents visages du Cambodge: des villages flottants sur les rivières et le lac Tonlé Sap (le plus grand lac d’eau douce d’Asie du Sud-Est), des villages riverains, des terres cultivées, des fermes d’éleveurs, des dizaines et dizaines d’enfants très enthousiastes qui surgissent de partout pour envoyer la main aux passagers, etc. Autant de scènes, autant de moments qui méritent d’être croqués. Voilà donc une excellente occasion d’apporter un appareil photo.
Je recommande fortement cette expérience, malgré quelques longueurs. Même si je ne voudrais pas refaire ce trajet avant un bon moment, j’ai vraiment aimé ce que j’ai vu, ce que j’ai vécu. Ce fut une belle façon de voir du pays, à un rythme qui permet de mieux l’apprécier. ****
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